Stabat Mater de Pergolèse
avec Magali Léger et Paulin Bündgen
Vent des Royaumes
entre Orient et Occident
Lamentations de Jean Gilles
avec le choeur de chambre Les Eléments
De Paris à Versailles
motets pour 3 voix d'hommes de Charpentier
Daphnis et Alcimadure de Mondonville
avec le choeur de chambre Les Eléments
Vivaldi Fioritura
avec la soprano Julia Kogan
Grands Motets versaillais
avec le Choeur du Capitole de Toulouse
Voyage à Lübeck
avec Gilles Cantagrel
Suites de danses de Rameau
Diapositive précédente
Diapositive suivante

Retour sur le Festival Passions Baroques à Montauban

EXTRAIT VIDEO : 

DIAPORAMA : 

 

EXTRAITS DE PRESSE :

Mêlant leurs voix de manière complémentaire et exquise dans les duos, le charme belcantiste de ces pièces a fait chavirer le public. Les musiciens des Passions, sous la direction dansante de Jean-Marc Andrieu, respirent avec les solistes comme un seul être. Dans cette interprétation, ces deux pièces doloristes ont donc gagné en naturel et en bonheur d’écoute. Tout était pur, simple, évident. Aucune recherche d’effet, toute la beauté de la musique et du texte mêlés. Cette manière de faire de la musique a particulièrement touché le public. Lire l’article en entier»»
Classiquenews.com, Hubert Stoecklin

 

Passions Baroques à Montauban, quand la délectation n’est pas morose
Entre l’effectif réduit de ces virtuoses, dont l’exécution est d’une netteté immaculée, et le parti-pris par Jean-Marc Andrieu de diriger au scalpel, les œuvres prennent une densité inhabituelle.(…) Ce superbe travail orchestral soutient les solistes vocaux, Magali Léger et le contre-ténor Paulin Bündgen. L’association est heureuse car leurs timbres se marient délicieusement et leur interprétation révèle le même raffinement. Lire l’article en entier»»
Forumopera.com, Maurice Salles

 

La Passion selon Saint-Jean, l’opéra de Bach
Sébastien Obrecht assure le rôle écrasant de l’Évangéliste, véritable colonne vertébrale de l’ouvrage, avec un grand sens de la déclamation et une diction parfaite (…). Aguerri à cette œuvre qu’il remet sur le métier depuis plusieurs années, Jean-Marc Andrieu la dirige sans partition afin d’avoir l’esprit libre et d’être attentif à chacun et à chaque détail. Avec sa précision et sa souplesse coutumières, il accompagne et galvanise le chœur, porte les solistes avec bienveillance et s’efface devant le récit de l’Évangéliste. Lire l’article en entier »»
Resmusica.com, Alain Huc de Vaubert

 

Stabat Mater de Pergolèse
La magie de ce concert réside évidemment dans cet assemblage judicieux de voix d’une grande qualité, serties dans l’écrin délicat d’une orchestration bien présente mais dépouillée de tout effet sonore superflu. Le public ne s’y est pas trompé, qui a longuement ovationné les artistes. Lire l’article en entier »»
Baroquiades.com, Bruno Maury

 

Le chemin sacré
Le choix de Jean-Marc Andrieu de moduler l’effectif par une géométrie variable adaptée au caractère de chaque intervention (choral, chœur, turba) confère à tous les épisodes une transparence inattendue et un impact dramatique saisissant. Lire l’article en entier»»
ClassicToulouse.com, Serge Chauzy

 

J‘ai entendu le “oui” du Christ en Croix
Jean-Marc Andrieu fend l’air d’un geste puissant et précis quand il emmène les plus grands ensembles, se fait simple et attentif dans les arias, et laisse leur juste liberté aux récitatifs. Pas une fois, alors qu’il dirige sans partition, il n’aura été dépassé par le nombre…L’orchestre était irréprochable, la basse continue un soutien parfait. On a tellement aimé qu’on en redemande : pendant la semaine sainte, du 10 au 14 avril, les cinq séquences de la Passion seront présentées et analysées par un musicien et par un prêtre sur radio Présence. A suivre ! Lire l’article en entier»»  Blog.culture31.com, Thibault D’Hauthuille

 

Fervente Passion selon Saint-Jean à la Halle aux Grains
Dirigeant sans baguette, Jean-Marc Andrieu équilibre admirablement les forces en présence, maintient une solide pulsation rythmique, imprime à l’ensemble une belle ferveur. Ne recherchant jamais l’effet pour évoquer le drame de la Passion du Christ, il conserve une profondeur d’expression qui restitue à ce chef-d’œuvre sa dimension à la fois humaine et spirituelle. Lire l’article en entier»»
Turanne.blogspot.fr, Anne-Marie Chouchan